La fameuse société de Burger voulait s'implanter à Pacy Sur Eure non loin d'Intermarché mais le maire n'en veut pas.
En effet, un franchisé a voulu implanter dans notre commune un "McDonald's" afin d'une part de faire fructifier la société et d'autre part entrevoir la création d'emplois dans un bassin déserté.
Même si - nous le reconnaissons - le travail dans ces chaînes de fastfood est souvent ingrat, McDonald's a au moins le mérite ces derniers temps d'être l'une des enseignes parmi tant d'autres à créer de l'emploi pour nos jeunes et notamment : les étudiants pour payer leurs études et les jeunes moins qualifiés.
Rien y fait, le maire nous en rappelant un autre (Mr Miraux) est contre tout et tout le temps.
Les arguments avancés ne tiennent pas la route.
Les commerçants du centre ville ne seraient aucunement désaventagés par cette nouvelle implantation car il n'existe rien de comparable sur nos étals donc nous cherchons l'erreur.
De plus et il est important de ne pas se voiler la face messieurs de la municipalité, les gens qui mangent dans ces enseignes, qu'ils y mangent à Pacy Sur Eure, Vernon ou Evreux, si ceux ci veulent y manger, ils y mangeront.
S'eut été également un avantage sur un plan écologique.
En effet, comment mieux limiter les déplacements que d'implanter un fastfood près de chez soit plutôt que de faire emprunter leur voiture aux consommateurs occasionnels ?
Pour conclure, le maire ne se soucis toujours pas des jeunes qui auraient vu d'un bon oeil l'arrivée d'un McDonald's dans leur ville.
27/11/2009
19/11/2009
Transport en commun, l'exemple à suivre ?
En finir avec la galère des transports
«Un RER B saturé et un RER C obsolète.» Hier matin, cohue à Massy. Un problème de rail, à Châtelet, provoque de grosses perturbations sur la ligne B. Les usagers pestent. Antonia, 35 ans, maître de conférences en biologie, se montre plus philosophe. «Tous les jours, sur un trajet d’une demi-heure, il faut ajouter quinze à vingt minutes, soupire-t-elle. Il y a trop de monde…» Et trop de pannes et de retards. La pétition lancée par ATPS pour un plan d’urgence du RER B a recueilli plus de 5 000 signatures. La ligne (gérée par la RATP au sud et par la SNCF au nord) aux 840 000 voyageurs par jour a vu augmenter ses usagers de 35 % en dix ans… Parallèlement à l’explosion des incidents : + 22 % en 2008, selon la RATP. Côté RER C, sur la branche Versailles-Massy-Juvisy, «l’offre n’est plus du tout performante, affirme Marc Pélissier, secrétaire général de l’Association des usagers des transports. Les trains sont lents et leur fréquence est trop faible».
«Un réseau de bus médiocre et sous-dimensionné.» «Un peu plus de fréquence aux heures de pointe ne ferait pas de mal, sourit Cyril, 40 ans, ingénieur pour Danone sur le site de Polytechnique. Surtout lorsque tout le monde sort en même temps du RER !» Ce dernier, habitant de Bourg-la-Reine (Hauts-de-Seine), s’apprête comme chaque matin à grimper dans le bus 91.06, bondé aux heures de pointe. «Souvent, on se tasse» ajoute Emmanuel, 25 ans, salarié d’une entreprise de logiciels à Saint-Quentin-en-Yvelines. Et qui vient trois fois par semaine de Lyon ! Cette ligne en site propre, saluée par les usagers lors de sa mise en place en mai, a vu sa fréquentation bondir de 12 000 voyages, lors de sa première semaine d’exploitation, à près de 22 000 récemment. ATPS souhaiterait une capacité agrandie des bus et un plus fort cadencement. Autre regret de l’association : l’absence d’axe nord-sud Versailles-Les Ulis. «Cette ligne existe, mais en plusieurs tronçons dépendant de différentes institutions, regrette Loïc Bertrand, président d’ATPS. Elle est donc impraticable !»
«Des voies impraticables pour le vélo, pas de trottoirs.» «Il existe quelques axes de pistes cyclables, mais le maillage n’est pas cohérent sur le plateau », rappelle Loïc Bertrand. «Et certaines sont franchement vétustes», ajoute Emmanuel Ferrand, secrétaire de l’association.
Extrait du Parisien
Une association appelle ce matin habitants et salariés à manifester. Elle dénonce les lacunes des transports en commun alors que le secteur doit encore se développer.
Entre un réseau routier saturé et des transports collectifs qui laissent à désirer, l’Association pour l’amélioration des transports sur le plateau de Saclay (ATPS) organise aujourd’hui, dès 8 h 15, une manifestation «festive», dénonçant «le délabrement des transports publics et le manque d’alternative à la voiture individuelle pour la desserte du plateau de Saclay». Une situation qui inquiète d’autant plus habitants et salariés que le territoire poursuit son développement dans le cadre de l’opération d’intérêt national qui va créer un cluster. «On observe un décalage entre ce qui est annoncé et la réalité : on implante des établissements sans avoir créé les moyens de transport», tacle Loïc Bertrand, président d’ATPS.«Un RER B saturé et un RER C obsolète.» Hier matin, cohue à Massy. Un problème de rail, à Châtelet, provoque de grosses perturbations sur la ligne B. Les usagers pestent. Antonia, 35 ans, maître de conférences en biologie, se montre plus philosophe. «Tous les jours, sur un trajet d’une demi-heure, il faut ajouter quinze à vingt minutes, soupire-t-elle. Il y a trop de monde…» Et trop de pannes et de retards. La pétition lancée par ATPS pour un plan d’urgence du RER B a recueilli plus de 5 000 signatures. La ligne (gérée par la RATP au sud et par la SNCF au nord) aux 840 000 voyageurs par jour a vu augmenter ses usagers de 35 % en dix ans… Parallèlement à l’explosion des incidents : + 22 % en 2008, selon la RATP. Côté RER C, sur la branche Versailles-Massy-Juvisy, «l’offre n’est plus du tout performante, affirme Marc Pélissier, secrétaire général de l’Association des usagers des transports. Les trains sont lents et leur fréquence est trop faible».
«Un réseau de bus médiocre et sous-dimensionné.» «Un peu plus de fréquence aux heures de pointe ne ferait pas de mal, sourit Cyril, 40 ans, ingénieur pour Danone sur le site de Polytechnique. Surtout lorsque tout le monde sort en même temps du RER !» Ce dernier, habitant de Bourg-la-Reine (Hauts-de-Seine), s’apprête comme chaque matin à grimper dans le bus 91.06, bondé aux heures de pointe. «Souvent, on se tasse» ajoute Emmanuel, 25 ans, salarié d’une entreprise de logiciels à Saint-Quentin-en-Yvelines. Et qui vient trois fois par semaine de Lyon ! Cette ligne en site propre, saluée par les usagers lors de sa mise en place en mai, a vu sa fréquentation bondir de 12 000 voyages, lors de sa première semaine d’exploitation, à près de 22 000 récemment. ATPS souhaiterait une capacité agrandie des bus et un plus fort cadencement. Autre regret de l’association : l’absence d’axe nord-sud Versailles-Les Ulis. «Cette ligne existe, mais en plusieurs tronçons dépendant de différentes institutions, regrette Loïc Bertrand, président d’ATPS. Elle est donc impraticable !»
«Des voies impraticables pour le vélo, pas de trottoirs.» «Il existe quelques axes de pistes cyclables, mais le maillage n’est pas cohérent sur le plateau », rappelle Loïc Bertrand. «Et certaines sont franchement vétustes», ajoute Emmanuel Ferrand, secrétaire de l’association.
Extrait du Parisien
13/11/2009
L'ancien Maire se fait une place au soleil
Jean-Luc Miraux vient d'être nommé Inspecteur Général de l'Education Nationale. Aucun rapport avec le mérite personnel, mais un simple renvoi d'ascenseur pour avoir laissé sa place de sénateur à Hervé Maurey, maire de Bernay.
Merci pour cette article à "caméra diagonale".
Il attendait la nouvelle depuis qu'il avait accepté de ne pas se représenter aux élections sénatoriales de septembre 2008. Ses défaites aux municipales et à la présidence du SIEGE, sonnaient le glas de la carrière politique de monsieur Miraux.
Des défaites non perdues pour tout le monde.
Ainsi, Hervé Maurey saute sur l'occasion. Celui-ci plaide pour le retrait pur et simple de l'ancien maire de Vernon à son profit. L'UMP donne son accord.
Jean-Luc Miraux ne perd pas le nord, il monnaye son retrait,. "J'accepte de ne pas me représenter à condition qu'on me trouve un point de chute", repond-il en substance. Va pour la promesse, la République est bonne fille.
Seulement, le temps passe et monsieur l'ex-maire s'impatiente. "Alors, où en est-on avec le job qu'on m'a promis?" lance-t-il à Maurey, Morin et Bruno Le Maire, chaque fois qu'il les rencontre lors de cérémonies officielles dans la région de Vernon.
Bruno Le Maire n'a, pourtant, jamais fait de promesses, selon ses proches. Jean-Luc Miraux se fait de plus en plus pressant....Il est question, à un moment d'une nomination au Conseil Economique et Social, puis de deux autres possibilités.
Enfin, le "fromage", selon sa propre expression, lui est proposé avant-hier, mardi. Des élus de l'UMP sont scandalisés. Ils ne comprennent pas comment un professeur de Collège peut accéder à ce poste au sein de l'Education Nationale.
Un poste rémunéré autour de 5 000€ mensuels.
Des questions se posent, effectivement. Les divers revenus familiaux de monsieur Miraux sont estimés à dix fois le Smic. D'aucuns parlent aussi de son patrimoine immobilier, hors du commun.
Que dire, alors, de l'ancien attaché parlementaire de l'ancien sénateur, aujourd'hui inscrit au Pôle Emploi ?
Monsieur Miraux s'est-il préoccupé de sa situation, plus dramatique et urgente que la sienne ? Et puis tous ces français sans emploi, dans des situations économiques dramatiques.
Les petits arrangements entre amis, les roulages dans la farines, les foutages de gueule, comme disent les plus jeunes, de plus en plus pauvres, parfois se paient au prix fort.
A l'approche des régionales, cette affaire n'est pas pour arranger la campagne électorale que s'apprête à lancer Bruno Le Maire, en compagnie d'Hervé Morin, l'ami d'Hervé Maurey, aujourd'hui sénateur.
Des défaites non perdues pour tout le monde.
Ainsi, Hervé Maurey saute sur l'occasion. Celui-ci plaide pour le retrait pur et simple de l'ancien maire de Vernon à son profit. L'UMP donne son accord.
Jean-Luc Miraux ne perd pas le nord, il monnaye son retrait,. "J'accepte de ne pas me représenter à condition qu'on me trouve un point de chute", repond-il en substance. Va pour la promesse, la République est bonne fille.
Seulement, le temps passe et monsieur l'ex-maire s'impatiente. "Alors, où en est-on avec le job qu'on m'a promis?" lance-t-il à Maurey, Morin et Bruno Le Maire, chaque fois qu'il les rencontre lors de cérémonies officielles dans la région de Vernon.
Bruno Le Maire n'a, pourtant, jamais fait de promesses, selon ses proches. Jean-Luc Miraux se fait de plus en plus pressant....Il est question, à un moment d'une nomination au Conseil Economique et Social, puis de deux autres possibilités.
Enfin, le "fromage", selon sa propre expression, lui est proposé avant-hier, mardi. Des élus de l'UMP sont scandalisés. Ils ne comprennent pas comment un professeur de Collège peut accéder à ce poste au sein de l'Education Nationale.
Un poste rémunéré autour de 5 000€ mensuels.
Des questions se posent, effectivement. Les divers revenus familiaux de monsieur Miraux sont estimés à dix fois le Smic. D'aucuns parlent aussi de son patrimoine immobilier, hors du commun.
Que dire, alors, de l'ancien attaché parlementaire de l'ancien sénateur, aujourd'hui inscrit au Pôle Emploi ?
Monsieur Miraux s'est-il préoccupé de sa situation, plus dramatique et urgente que la sienne ? Et puis tous ces français sans emploi, dans des situations économiques dramatiques.
Les petits arrangements entre amis, les roulages dans la farines, les foutages de gueule, comme disent les plus jeunes, de plus en plus pauvres, parfois se paient au prix fort.
A l'approche des régionales, cette affaire n'est pas pour arranger la campagne électorale que s'apprête à lancer Bruno Le Maire, en compagnie d'Hervé Morin, l'ami d'Hervé Maurey, aujourd'hui sénateur.
Merci pour cette article à "caméra diagonale".
04/11/2009
La CAPE se met au VERT
Loin de nous l'idée de vouloir faire de la PUB pour ce vieux dinosaure.
En effet, dans le cadre de l'élaboration du Schéma de Cohérence Territorial (SCOT), la CAPE nous invite tous et toutes à venir débattre des enjeux de l'agglomération, le jeudi 05 novembre à 19h00 au siège de la CAPE à Douains pour une belle soirée débat sur fond d'élections régionales et d'attirances politiques.
Mais puisque cela permet de rassembler des idées il nous est apparu inconcevable de passer à côté d'une telle opportunité de participer à un débat qui pourrait devenir constructif sur un plan environnemental et sur un point de vue (que nous évoquons souvent) "le transport".
Quelle mouche a piquée la CAPE ?
Jamais elle n'est parvenue à répondre à nos sollicitations sur les innombrables demandes faites en faveur du déplacement doux (transport en commun, covoiturage, pistes cyclables).
Le réveil du mammouth s'est fait attendre mais il arrive tout doucement au fil des ans.
Message en direction des lecteurs :
Nous ne pourrons malheureusement être présent lors de ce débat party (retenues professionnelles et problèmes de transports : Lol) !
Nous aimerions donc savoir si une ou plusieurs personnes seraient volontaires pour participer à cette soirée et nous en faire rapporter les allocutions diverses et variées que nous retransmettrons sur le blog.
Merci d'avance de nous contacter via l'adresse mail du blog ou en commentaire sur le post.
En effet, dans le cadre de l'élaboration du Schéma de Cohérence Territorial (SCOT), la CAPE nous invite tous et toutes à venir débattre des enjeux de l'agglomération, le jeudi 05 novembre à 19h00 au siège de la CAPE à Douains pour une belle soirée débat sur fond d'élections régionales et d'attirances politiques.
Mais puisque cela permet de rassembler des idées il nous est apparu inconcevable de passer à côté d'une telle opportunité de participer à un débat qui pourrait devenir constructif sur un plan environnemental et sur un point de vue (que nous évoquons souvent) "le transport".
Quelle mouche a piquée la CAPE ?
Jamais elle n'est parvenue à répondre à nos sollicitations sur les innombrables demandes faites en faveur du déplacement doux (transport en commun, covoiturage, pistes cyclables).
Le réveil du mammouth s'est fait attendre mais il arrive tout doucement au fil des ans.
Message en direction des lecteurs :
Nous ne pourrons malheureusement être présent lors de ce débat party (retenues professionnelles et problèmes de transports : Lol) !
Nous aimerions donc savoir si une ou plusieurs personnes seraient volontaires pour participer à cette soirée et nous en faire rapporter les allocutions diverses et variées que nous retransmettrons sur le blog.
Merci d'avance de nous contacter via l'adresse mail du blog ou en commentaire sur le post.
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