29/01/2009

Les imprimeries IPS ont repris Dulac Média Partenaire



DULAC imprimerie est mort !!!! et qu'a fait la municipalité pour soutenir cette entreprise historique pacéenne ???

Le 1er janvier 2009, les imprimeries IPS, créées en 1965, ont racheté Dulac Média Partenaire (Pacy-sur-Eure, 27), qui avait été placée sous procédure de sauvegarde en janvier 2008. IPS a repris le personnel (soit 91 salariés) et racheté le fonds de commerce et le matériel. Créée par François Dulac en 1962, l'imprimerie Dulac avait été reprise par son fils Simon Dulac en 2005.

Selon Sandro Cerminara, directeur général des imprimeries IPS, la reprise de Dulac Média Partenaire constitue une opportunité intéressante à plusieurs titres. IPS, qui souhaite garder une position forte dans le labeur, aurait dû réinvestir sur son site de Bernay (27), où il exerce une double activité, presse et labeur. Au prix d'un investissement modéré, le groupe va déménager son activité labeur de Bernay à Pacy-sur-Eure, où les machines ne sont pas chargées à plein. Celles-ci seront mises à niveau et utilisées de façon optimale. À plus long terme, le groupe étudiera l'opportunité de doter cette usine de nouvelles machines. En s'installant à Pacy-sur-Eure, IPS bénéficiera aussi d'un atout non négligeable : la proximité de Paris.

La direction du site de Pacy-sur-Eure a été confiée à Frédéric Bagne et, sur le plan commercial, le site a été rattaché au directeur commercial du groupe, Jacques Fachinetti. IPS a réalisé un chiffre d'affaires de 120 millions d'euros en 2008 avec 650 salariés. Il exploite cinq imprimeries et quatorze ateliers de prépresse.

19/01/2009

Les usagers pris en Otage à Paris Saint Lazare et vous ???

Sept heures d'errance dans les rues de Paris ! Témoignage paru dans le journal Paris-Normandie

Parmi les milliers de voyageurs piégés, une dame malade (Alzheimer) de 77 ans subie la fermeture de la Gare Saint Lazare.Sept heures d'errance dans les rues de Paris...

Dans le douillet appartement familial, à deux pas de la gare de Rouen, la tension est encore palpable. L'aventure s'est heureusement bien terminée, mais les pâles sourires sur les visages peinent encore, trois jours après, à effacer l'angoisse qui a serré tous les cœurs, sept heures durant. « Je me suis retrouvée sur les quais… Je ne sais plus… Un monsieur était là. J'ai suivi son chemin. Il m'a offert une tasse de café… J'étais un peu perdu… Je ne sais plus », raconte Micheline, 77 ans. « Elle ne se sait plus », répète en écho Antoine Fondimare, un médecin à la retraite du même âge, attentif comme jamais au bien-être de sa charmante épouse, atteinte de la maladie d'Alzheimer.

Mardi dernier, comme chaque semaine, il l'a accompagnée à la gare, poinçonné son billet, mené jusqu'à son compartiment et s'en est retourné après avoir suivi des yeux le train de 8 h 59 qui s'éloignait à destination de Paris. Un voyage que Micheline adore. Qui lui permet de voir Clotilde, la dernière de ses trois filles. Et ses petits-enfants aussi. Elle en a douze au total. Un déplacement organisé en accord avec le spécialiste qui la suit depuis neuf ans déjà. A priori sans risque puisqu'elle est bien sûr attendue à la gare Saint-Lazare à 10 h 10. Mais, peu avant l'heure d'arrivée, la gare parisienne n'est plus qu'un camp retranché, derrière les cordons de la police ferroviaire et les CRS en renfort. Une grève surprise déclenchée après l'agression d'un cheminot paralyse le trafic. Ordre est donné, par sécurité, d'évacuer.

Dans cette pagaille indescriptible, Clotilde parvient à passer et demande aide aux agents de la SNCF. Où est passé le train ? « Ils ont rapidement découvert que le convoi s'était arrêté à Mantes-la-Jolie, raconte Antoine. Tous les passagers ont été invités à descendre pour prendre un autre convoi à destination de la gare Montparnasse. Elle a dû suivre le mouvement… » « J'ai été pris en charge par une femme remarquable qui a aussitôt alerté la police ferroviaire », poursuit Clotilde. Mais les heures passent et sa maman est toujours introuvable. Vers 15 h, elle alerte elle-même la police nationale. « J'ai imaginé le pire : une agression, un malaise… Ma fille était aussi affolée », confie encore Antoine qui, voyant la nuit arrivée, saute dans sa voiture. Direction Mantes. « J'allais faire la même chose quand un message est arrivé à cette dame qui ne m'a jamais quittée. Une chance extraordinaire », ajoute Clotilde. Peu avant 17 h, devant Saint-Lazare, une dame âgée, vêtue d'un manteau noir, un sac à main pour tout bagage, a demandé à un agent de la SNCF de lui appeler un taxi. Voyant l'état dans lequel elle était, grelottante, les chaussures trempées, exténuée, affamée, l'agent l'avait gentiment emmenée prendre une tasse de café et manger un croissant.

Il lui aura fallu sept longues heures pour parcourir les 6 ou 7 kilomètres qui séparent les deux gares. « On ne sait pas ce qu'elle a fait tout ce temps. Elle a dû marcher au hasard, demander son chemin. » Avec sans doute une seule obsession : retrouver sa fille à Saint-Lazare, comme d'habitude. De tout cela, Micheline ne se souvient guère, mais peine encore à se remettre de son immense fatigue.

« Je suis désolée d'avoir dérangé tout le monde. Je me sens anéantie », dit-elle doucement. Ça ne l'a pas empêché de reprendre le train pas plus tard que ce matin avec son époux attentionné. Rien ne devrait, a priori, empêcher celui-là d'arriver. Quoique…

18/01/2009

Une inconnue au conseil municipal

Les amis du Maire se font une place au soleil !!!

Karine PREY (LEVEAU) cette jeune native de Conches vient d'intégrer le conseil municipal de Pacy Sur Eure et participe aux travaux de plusieurs commissions : les affaires sociales et le logement, les sports, les loisirs, la culture et la communication. Mais quelle est vraiment sa spécialité dans tout sa ??? Elle a également des délégations au CCAS, au niveau des anciens, l'assistance et le secours, les œuvres sociales aux personnes.
A trop vouloir se disperser on en arrive souvent à des échecs !! L'avenir nous le dira.

Que peut apporter cette nouvelle recrue à notre commune (mis à part sa jeunesse) ?
N'étant native de Pacy Sur Eure, nous trouvons une fois de plus navrant que la commune ne puise pas dans les ressources de la ville ne laissant une fois de plus pas la place à nos jeunes qui connaissent beaucoup plus Pacy et ses habitants.

Jeunes de Pacy Sur Eure, reveillez-vous, votre commune vous tourne le dos et transformera à vos dépend l'image que vous avez de votre belle et charmante ville.

Les amis du Maire ! Bousculés


violente altercation à l'assemblée !

Alors que Frédéric Lefèbvre, député UMP, donnait une interview à la chaine LCI, deux députés socialistes l'ont interpelé de façon assez virulente à propos de son absence dans l'hémicycle.


Ils ont ensuite été rejoint par une autre de leur collège qui a conclu l'échange d'un : "à trop vouloir mépriser la loi, la loi se fera dans la rue et faudra pas venir pleurer".


A trois contre un et devant une caméra, Frédéric Lefèbvre a dû avoir un grand moment de solitude.

01/01/2009

Tous nos voeux pour cette nouvelle année


Nous tenions à souhaiter à l'ensemble des fidèles lecteurs de notre maigre blog une bonne et heureuse année 2009, qu'elle vous apporte comme à nous joie, bonheur, amour et santé.

Cordialement, l'equipe de Avenir-Pacy-Sur-Eure.